Catégorie Gestion d’Entreprise

De nouveaux moyens sont mis au service des entreprises grâce à la dématérialisation. Parmi eux, on trouve notamment la télédéclaration, processus qui permet à ces entreprises de déclarer leurs revenus fiscaux par voie numérique. Zoom sur ce nouvel outil et ses procédures.

Télédéclaration : définition et avantages

En quoi consiste la télédéclaration ?

La télédéclaration désigne le processus de déclaration en ligne, on parle ici principalement de déclarations fiscales et administratives. Permise grâce à la transformation digitale et la dématérialisation, la télédéclaration permet à celui qui déclare d’effectuer sa déclaration par l’intermédiaire d’un service en ligne sur internet et remplace donc l’envoi par courrier. Seul le support change, les informations envoyées restent les mêmes.

Quels sont les avantages de la déclaration en ligne ?

La déclaration en ligne offre de nombreux avantages :

  • Gain de temps : elle s’établit en quelques clics en ligne et ne nécessite donc ni impression, ni envoi postal. De plus, les mentions sont pré-remplies, ce qui ajoute un gain de temps supplémentaire.
  • Sécurité et traçabilité des échanges avec le service des impôts. Un accusé de réception est notamment envoyé immédiatement après dépôt du dossier dématérialisé. 
  • Délai supplémentaire : le temps d’envoi à compter sur l’envoi postal est supprimé
  • Suivi de l’état d’avancement des déclarations offert par le service en ligne. De plus, le service de déclaration en ligne est accessible à tout moment et de n’importe où.

La télédéclaration pour les entreprises : comment fonctionne t-elle ?

Qu’est-ce que doit déclarer l’entreprise à l’administration fiscale ?

Chaque année, chaque entreprise est tenue d’envoyer à son Service des Impôts des Entreprises un document qui reprend l’essentiel des informations comptables de l’année écoulée, ainsi que la déclaration de résultat de l’entreprise.

La télédéclaration s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Selon le code générale des impôts, les entreprises sont tenues de déclarer chaque année au Service des Impôts des Entreprises leur liasse fiscale, dans les 3 mois de la clôture de l’exercice comptable.

La liasse fiscale est composé de formulaires souvent référencés par leur « numéro cerfa », elle regroupe l’ensemble des documents fiscaux établis à la fin d’un exercice comptable et fiscal, tels que :

  • Le bilan comptable (actif-passif)
  • Le compte de résultat
  • L’état des immobilisations, des amortissements et des plus ou moins values
  • Les provisions, déficits reportables, et amortissements dérogatoires
  • La valeur ajoutée de l’exercice
  • La répartition du capital social
  • L’état des filiales et des participants

Ainsi, la liasse fiscale permet de rendre compte de la situation comptable de l’entreprise et fournit les justifications des résultats imposables pour le centre des finances publiques. De fait, le résultat fiscal de l’entreprise permet de déterminer la base qui sera soumise soit à l’impôt sur les sociétés (IS) soit à l’impôt sur le revenu (IR).

Quelles sont les téléprocédures pour les entreprises ?

Dans le cadre de la déclaration fiscale en ligne, deux types de téléprocédures s’offrent aux professionnels :

  • Mode EFI (Échange de Formulaires Informatisé) : le professionnel peut réaliser gratuitement ses opérations directement sur l’espace professionnel du site impots.gouv.fr.
  • Mode EDI (Échange de Données Informatisée) : le professionnel peut réaliser ses opérations par l’intermédiaire d’un partenaire EDI (comptable ou prestataire mandaté). Ce dernier sera alors chargé de faire le lien entre l’entreprise et l’administration fiscale en transmettant les déclarations et paiements effectués par l’entreprise au fisc.

A noter que la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) autorise le mode EFI uniquement pour ce type d’opérations et de de paiements :

  • Déclaration de la TVA
  • Dépôt de demande de remboursement de crédit de TVA
  • Paiement de l’impôt sur les sociétés, la contribution économique territoriale, et la taxe sur les salaires
  • Dépôt de demande de remboursement de TVA dans l’UE (Union européenne)

Ainsi, la DGFIP impose le passage par un partenaire EDI aux entreprises pour la déclaration de leur résultat annuel et de leurs annexes (la liasse fiscale).

En conclusion

Ainsi, les entreprises peuvent donc télétransmettre leurs déclarations professionnelles et payer leurs différentes échéances auprès de la DGFiP par voie électronique. Différents types de téléprocédures s’offrent néanmoins à elles et il est important qu’elles se renseignent au préalable sur les modalités en place.

Face à des factures impayées et, l’entreprise peut appliquer une pénalité de retard. En quoi celle-ci consiste-t-elle et quelles sont ses modalités de mise en œuvre ? Réponse dans l’article.

Qu’est-ce qu’une pénalité de retard ?

Dans le cadre d’une relation commerciale, le vendeur fournit un bien ou un service à l’acheteur en échange d’un paiement. Les factures permettent d’encadrer juridiquement ces échanges de biens et de l’établir comme un contrat de vente. Hormis le montant du marché conclu et le détails de la commande, cette facture doit faire figurer les modalités de paiement, notamment le délai de paiement. Ce délai de x jours précise au client la date limite qu’il ne doit pas dépasser pour payer les biens, ou la prestation de services, au vendeur ou prestataire et figure généralement dans les Conditions générales de vente.

Dans le cas d’un dépassement des délais, les clients en retard de paiement peuvent se voir appliquer des pénalités de retard. Ces pénalités dues ci viennent donc sanctionner le retard de paiement, mais elles ont aussi un but préventif puisqu’elles incitent les clients à payer leurs factures dans les échéances figurant sur le document de facturation.

Les délais de paiement varient selon les entreprises et les conditions de règlement. Le plus souvent, le délai de paiement est fixé au 30ème jour suivant la réception des marchandises ou l’exécution de la prestation. S’il peut être supérieur, le nombre de jours ne peut néanmoins jamais dépasser 60 jours à partir de la facturation.

Naturellement, il est crucial que soient mentionnées la politique de paiement exacte de paiement . De fait, le code de commerce impose aux entreprises d’indiquer sur leurs factures la date d’échéance et le taux d’intérêt de retard :

« Tout achat de produits ou toute prestation de service pour une activité professionnelle doivent faire l’objet d’une facturation. La facture doit mentionner la date à laquelle le règlement doit intervenir. Elle précise le taux des pénalités exigibles le jour suivant la date de règlement inscrite sur la facture ainsi que le montant de l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement due au créancier en cas de retard de paiement » (Article L 441-3)

 Le fait de ne pas mentionner le taux des pénalités de retard dans la facture et dans les conditions générales de vente est passible d’une amende de 75 000 € (Article L 441-4 du Code de Commerce).

Comment calculer les pénalités de retard et le taux applicable ?

Comment calculer le montant des pénalités ?

Pour calculer les pénalités de retard, il convient d’appliquer à la somme de la créance impayée (TTC) le taux d’intérêt mentionné sur la facture et les CGV, multiplié par le nombre de jours de retard, le tout divisé par 100 fois le nombre de jours de l’année, les pénalités de retard peuvent être calculées par la formule suivante :

Le mode de calcul du montant des pénalités de retard est le suivant : Sommes dues sur la créance impayée (TTC) x taux d’intérêt x (nombre de jours de retard / 365)

Comment fixer le taux d’intérêt ?

Le taux d’intérêt appliqué par défaut dans les CGV correspond généralement au taux directeur de la Banque centrale européenne (BCE) majoré de 10 points. Le taux de refinancement de la BCE étant actuellement fixé à 0%, cela signifie que le taux des pénalités est fixé à 10%.

Toutefois, l’article L. 441-10 du Code de Commerce autorise les entreprises à fixer librement leur taux d’intérêt si elles le souhaitent. Néanmoins, il ne doit pas être en-deçà du taux minimal de 2,37 % (à partir du 1er janvier 2021), ni lui être supérieur à 3 fois le taux d’intérêt légal.

En conclusion

Ainsi, à défaut de paiement à l’échéance, le créancier pourra donc réclamer de plein droit des intérêts de retard. Néanmoins, il est essentiel que les documents commerciaux précisent en amont les conditions d’application des pénalités de retard ainsi que le taux d’intérêt choisi.

Les échanges intracommunautaires, entre pays membres de l’UE (Union européenne), sont soumis à des politiques et régimes d’imposition spécifiques. Parmi elles, on trouve notamment le principe d’autoliquidation entre pays membres. Alors, de quoi s’agit-il et comment facture la TVA dans l’Union Européenne ?

En quoi consistent la collecte de la TVA et le principe d’autoliquidation ?

Qu’est-ce que l’autoliquidation ?

Pour comprendre le processus d’autoliquidation, il faut déjà comprendre le principe de la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée). 

La TVA est considérée comme un impôt indirect puisqu’elle n’est pas collectée directement par l’Etat comme l’impôt sur le revenu. De fait, c’est le vendeur ou prestataire qui la va collecter lui-même auprès de ses clients et, à travers sa déclaration de TVA, la reverser ensuite au Trésor Public.

Toutefois, il y a une exception à ce régime d’imposition de la TVA exposé ci-dessus : il s’agit du principe d’autoliquidation. Dans ce cas, la TVA doit être collectée et déclarée par le client lui-même. Ce mécanisme est donc le suivant : le prestataire ou vendeur facture son client hors taxes et c’est au client de déclarer lui-même aux impôts la TVA sur le produit ou service qu’il a acheté.

Pour mieux comprendre ce principe, on peut commencer par imaginer une situation dans laquelle l’autoliquidation ne serait pas mise en place : 

Prenons la situation suivante : une entreprise allemande vend son produit, ou service, à un client français. Avec l’autoliquidation, elle devra lui vendre ce bien avec un prix HT (Hors Taxes). Toutefois, cela ne signifie pas que la taxe disparait : elle est transférée sur la responsabilité du client français. C’est à lui, qui achète le produit au vendeur allemand, de calculer son montant et de la déclarer auprès de l’administration fiscale française selon le taux en vigueur en France.

A quoi sert l’Autoliquidation ?

Le principe d’Autoliquidation de TVA a été instauré pour simplifier les échanges intracommunautaires, ainsi que les opérations fiscales qui en découlent. L’autoliquidation permet d’unifier et de réglementer le cadre juridique de la TVA dans le cadre d’opérations réalisées par des vendeurs ou des prestataires établis hors du territoire français.

L’autoliquidation permet d’éviter que les sociétés étrangères, qui facturent en France, soient contraintes de s’immatriculer sur le territoire français pour déposer des déclaration de TVA en France. Ce mécanisme consiste, pour les entreprises clientes identifiées à la TVA en France, à être elles-mêmes redevables de la TVA en France. Ainsi, le prestataire ou le vendeur établi hors de France facture ses marchandises ou ses prestations de service hors taxe en précisant sur la facture que la TVA est due par le client identifié à la TVA en France.
En France, les entreprises qui peuvent bénéficier de l’autoliquidation dans le cadre des échanges intracommunautaires doivent, pour être éligibles, obligatoirement être immatriculées à la TVA en France. Naturellement, le processus d’autoliquidation ne concerne pas les particuliers et un assujetti implanté en France qui réalise une prestation pour un non-assujetti (un particulier) à l’étranger doit facturer toutes taxes comprises (avec la TVA française).

Autoliquidation : modalité et facturation, comment ça marche ?

Comment facturer en auto liquidation ?

Pour faire valoir l’autoliquidation, les entreprises devront adresser leurs factures en respectant les règles imposées par l’UE.

Voici les éléments qui devront figurer sur la facture sont les suivants :

Autoliquidation de la TVA en cas de sous-traitance dans le BTP

L’autoliquidation de TVA concerne également une majorité des entreprises de sous-traitance de travaux dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. (BTP) 

Dans le secteur du bâtiment et de la construction, le principe d’autoliquidation s’applique de manière spécifique. 

En effet, depuis le 1er janvier 2014, l’autoliquidation est obligatoire dans le cadre de travaux de sous-traitance exécutés pour le compte d’un donneur d’ordre assujetti. Dans ce cadre, ce n’est pas au sous-traitant d’acquitter la TVA mais au donneur d’ordre. Dès lors, le sous-traitant facture en HT ses prestations et il n’a ni à déclarer, ni à payer la TVA pour ces opérations.

En conclusion

L’autoliquidation est donc un mécanisme de collecte de TVA inversé sur les transactions réalisées entre des entreprises basées au sein de pays membres de l’UE, il ne s’applique pas aux transactions vers ou depuis un pays situé hors de l’espace économique européen.

La déclaration de la TVA est un processus fiscal essentiel pour permettre aux entreprises de définir la TVA qu’ils doivent à l’Etat. De fait, la Taxe sur la Valeur Ajoutée est un impôt général sur la consommation facturé au client par le prestataire. Alors, comment les entreprises déclarent-elles leur TVA, quel calcul faut-il faire et quelles sont les modalités à suivre ?

Qu’est-ce que la TVA ?

La TVA : un impôt indirect imposé par l’Etat

Par définition, la TVA est une taxe imposé par l’État : selon l’article 283-1 du code général des impôts, le vendeur de produit ou le prestataire de service qui facture la TVA à ses clients est ensuite redevable de cette TVA à l’Etat. De fait, la TVA est un impôt indirect : il n’est pas collecté directement par l’Etat comme l’impôt sur le revenu, c’est le vendeur du produit ou du service qui va collecter lui-même la TVA auprès de ses clients et, à travers sa déclaration de TVA, il sera ensuite chargé de la reverser à l’Etat.

Assujetti et redevable à la TVA : quelles différences ?

Un grand nombre de professionnels est assujetti à la TVA : toute entreprise et tout auto-entreprise qui réalise des opérations économiques, telles que des activités de vente ou des prestations de services. Les activités économiques visées peuvent être commerciales, artisanales, industrielles, libérales, agricoles, civiles ou extractives. Néanmoins, les auto-entrepreneurs soumis au régime de la micro-entreprise ne sont pas assujettis à la TVA : de fait, la politique franchise en base de TVA vient exonérer le micro-entrepreneur de la déclaration et du paiement de la TVA sur les prestations ou ventes qu’elles réalisent.  Il faut noter que l’assujetti à la TVA n’est pas nécessairement redevable à la TVA car il existe des régimes spécifiques de TVA (comme le régime mini-réel de TVA par exemple) et divers types d’exonérations possibles. Le redevable est quant à lui dans l’obligation de payer la TVA et ses opérations ne sont donc pas exonérées car elles sont situées dans le champ d’application de la TVA.

Quels sont les taux de TVA ?

Les taux de TVA applicables en France sont au nombre de quatre :

  • Le taux normal à 20 % 
  • Le taux intermédiaire à 10 %
  • Le taux réduit à 5,5 %
  • Le taux particulier à 2,1 %

A noter que toutes les entreprises basées sur le territoire français sont en mesure de demander le remboursement de la TVA émises dans un autre pays de l’UE, c’est-à-dire État membre de l’Union européenne. De plus, pour les opérations imposables, la taxe à la valeur ajoutée est calculée sur le prix hors taxe et selon des taux variés.

Comment déclarer la TVA ?

TVA collectée et TVA déductible

Pour comptabiliser et déclarer la TVA, les entreprises doivent déduire de la TVA collectée sur les ventes la TVA relative aux achats. 

  • Par « TVA collectée », on entend l’ensemble de la TVA que les clients ont payé aux entreprises lors de l’achat de ses produits ou service en réglant leur impôt sur la consommation. Comme nous l’avons vu, cet argent est en réalité celui de l’Etat car c’est un impôt indirect, et l’entreprise l’a donc collecté pour lui. 
  • Par « TVA déductible »,  on entend la TVA que l’entreprise a elle-même payé lorsqu’elle a acheté des produits ou des services. En d’autres mots, on peut dire que cette TVA déductible correspond à des frais que l’entreprise n’aurait pas dû payer car elle en est dispensée en tant qu’entreprise. 

Pour calculer la TVA due, il suffit donc de partir de la TVA collectée et d’en soustraire la TVA déductible sur les les biens et services, ainsi que les immobilisations. Le résultat fiscal de cette opération correspondra alors au solde TVA à reverser à l’État. 

Déclaration de la TVA : quelles modalités ?

Il existe différents régimes d’imposition (normal ou simplifié) dans le cadre de la TVA.  En fait, le régime adapté est déterminé en fonction du chiffre d’affaires réalisé par l’entreprise et de son montant de TVA exigible annuel (l’exigibilité correspond à la date à partir de laquelle le Trésor public est en mesure de réclamer le paiement de la TVA due au redevable) :

  • Aussi, pour les entreprises qui déclarent moins de 15 000€ de TVA par an, le régime du réel simplifié leur sera appliqué.  La déclaration sera alors annuelle et le paiement  trimestriel. 
  • Pour celles qui déclarent un montant supérieur à 15 000€, le régime du réel normal leur sera appliqué. La déclaration et le paiement seront quant à eux mensuels.

Comment s’opère le contrôle de l’administration fiscale sur la TVA déclarée ?

La TVA perçue par le professionnel doit être obligatoirement reversée aux services des impôts. Ne pas correctement déclarer la TVA au Trésor Public est puni par la loi. Aussi, l’administration fiscale peut à tout moment contrôler la déclaration fiscale des entreprises. Pour cela, elle se basera sur l’examen de la liasse fiscale et le rapprochement entre la déclaration annuelle de résultat. Pour faciliter le suivi et la gestion de la TVA, et assurer une déclaration juste et sans erreur, il est conseillé de faire appel à un expert comptable (particulièrement pour les moyennes à grandes entreprises.)

Conclusion

Ainsi, il est important que les entreprises calculent correctement la TVA qu’elles doivent réellement à l’Etat : c’est ici que la déclaration et le calcul de la TVA due entrent en jeu car elle permet de déterminer, au titre d’un mois ou d’un trimestre, le montant de la TVA nette à payer.

La performance et la productivité d’une entreprise s’accompagnent nécessairement de dépenses et d’investissements financiers. Afin d’anticiper au mieux la nouvelle année à venir et la gestion budgétaire, il est essentiel de réaliser un budget prévisionnel. Ces prévisions financières serviront comme une base fondamentale pour visualiser les entrées et sorties financières, le seuil de rentabilité d’un projet, et gérer leur fond financier en conséquence. Alors, comment établir un budget prévisionnel et comment ça marche ?

Recettes et dépenses : des données clés

Pour fixer un budget prévisionnel pertinent, les entreprises devront prendre en compte deux types de données cruciales : les dépenses et les recettes. De fait, le prévisionnel financier correspond à une feuille de route à suivre pour l’année civile et fiscale à suivre, il est ainsi essentiel que le tableau financier regroupe l’ensemble des charges et recettes de l’entreprise pour offrir à l’entreprise la vision la plus réaliste possible.

Les postes de dépenses correspondent au flux de trésorerie sortant, elles comprennent toutes les charges et les coûts que l’entreprise devra payer. Pour calculer les dépenses prévisionnelles, il faut compter par exemple les achats de matières premières ou de produits, les impôts et taxes, les frais généraux et charges externes (énergie entretien, administration, loyers, fournitures, charges de copropriété, assurances, publicité, frais de déplacement, charges sociales, etc.), les salaires et charges patronales, ou encore les intérêts des emprunts. 

Quant aux recettes, elles correspondent au flux de trésorerie entrant, à ne pas confondre cependant avec les bénéfices ou le chiffre d’affaires de l’entreprise. Une recette correspond tout simplement à une rentrée d’argent dans la caisse de l’entreprise. Pour calculer les recettes prévisionnelles, il faut prendre en compte les ventes et les prestations issues de l’activité de l’entreprise comme la vente de marchandises, les prestations de services, la production stockée, ainsi que les subventions et sources de financement diverses.

Les tableaux financiers : constituants majeur du budget prévisionnel

Le prévisionnel financier regroupe plusieurs tableaux financiers : 

  • Le compte de résultat prévisionnel
  • Le bilan comptable prévisionnel (immobilisation, créances clients et stocks, capitaux propres, dettes financières et dettes fournisseurs)
  • Le plan de financement prévisionnel 
  • Le budget de trésorerie (encaissements-décaissements purement bancaires, mois par mois)

Généralement, ces tableaux s’accompagnent d’annexes tels que par exemple le tableau d’amortissement, le tableau de remboursement d’emprunt ou encore les soldes intermédiaires de gestion. Ainsi, ces tableaux prévisionnels offrent une vue large sur toute la partie financière de l’entreprise et les indicateurs financiers pertinents (taux de rentabilité, taux d’endettement, capacité d’autofinancement, besoin en fonds de roulement, chiffre d’affaire, écarts, ratios d’endettement, point mort, etc.) qui permettent ensuite de constituer un business plan solide à présenter aux investisseurs.

Modèle prévisionnel : sur quelle base le construire ?

La meilleure méthode pour calculer les dépenses et recettes à venir consiste à se baser sur les années d’exercice passées de l’entreprise. Idéalement accompagnée d’un expert-comptable, l’entreprise peut ainsi reprendre ses comptes de l’année précédente afin d’évaluer le plus justement les diverses charges et frais à prendre en compte dans son bilan prévisionnel. Pour assurer une anticipation pertinente, il est important de ne pas sous-évaluer les dépenses courantes et l’analyse du bilan financier doit aussi être attentive de sorte à n’oublier aucun élément (financement initial et fonds propres, délais de paiement, charges fixes). Selon la structure et le secteur d’activité, l’entreprise pourra aussi ajouter des provisions et des amortissements.De même, pour établir un prévisionnel des recettes réaliste, il vaut mieux rester prudent et ne pas majorer ces recettes. 

Concernant les entreprises nouvelles, l’élaboration du budget prévisionnel est plus complexe car le projet de création d’entreprise est un processus neuf, elle peut se baser sur des estimations faites à partir de données collectées lors d’une étude de marché et d’enquêtes de terrain réalisées auprès des fournisseurs (devis, prix, frais et conditions, etc.) et auprès des clients potentiels (budget maximum, pouvoir d’achat, etc.). 

En conclusion

Le financier prévisionnel est un outil de pilotage stratégique car il permet de matérialiser les flux financiers et d’apprécier la viabilité d’un projet. Loin de se limiter à un simple exercice comptable, les budgets prévisionnels sont donc avant tout des outils de gestion et de management qui ont surtout pour but de fixer des objectifs et de définir la stratégie à suivre.

Le choix d’un fournisseur d’accès à Internet n’est pas facile surtout dans le cadre d’une activité professionnelle. Il faut en effet prendre en compte un ensemble de critères favorables aux activités de l’entreprise tout en restant le moins éprouvant possible pour la comptabilité. C’est pour cela que nous vous proposons de découvrir dans cet article comment trouver les meilleurs fournisseurs Internet pour votre entreprise.

Il existe de nombreux fournisseurs d’accès à Internet en France. On peut citer notamment Bouygues, Orange, Free, Sosh, SFR. Tous ces fournisseurs proposent des offres aussi variées les unes que les autres.

Pour une activité professionnelle, il est préférable d’opter pour une box Internet illimitée plutôt que de choisir un forfait mobile avec une limitation de données. Cela vous permet de travailler en toute quiétude.

Selon les conseillers de Boutique box internet, les meilleurs box Internet du moment sont :

  • La Freebox Révolution ;
  • La Bbox Must de Bouygues ;
  • La RED Box Fibre.

Pour avoir la meilleure qualité de connexion, la fibre optique est la technologie idéale. Les experts de la Boutique box internet estiment par exemple qu’une offre fibre chez Orange permet d’obtenir jusqu’à 2Gb/s de débit.

Toutefois, l’ADSL et la 4G restent des alternatives intéressantes si votre entreprise est située dans une zone non encore éligible à la fibre.

Comparer les tarifs fibre d’Orange, SFR, Bouygues, etc.

Il est très important de connaître les tarifs pratiqués par les différents FAI avant de souscrire à un abonnement Internet. Les tarifs fibre varient selon les fournisseurs et les abonnements choisis.

Comme expliqué dans le guide de la Boutique box internet, les tarifs fibre d’Orange par exemple sont assez abordables et offrent les mêmes privilèges en termes de performances et de débits que les offres fibre de Bouygues ou Free. Le recours à un comparateur est important car connaître les tarifs ne suffit pas pour choisir.

Il faut pouvoir analyser tous les contours de l’offre, surtout si elle est avec engagement. Il faut également pouvoir analyser les performances de la fibre selon l’offre.

Quelques astuces pour trouver le meilleur fournisseur Internet pour son entreprise

L’une des premières choses à prendre en considération pour trouver le meilleur fournisseur d’accès à Internet pour son entreprise est le critère d’éligibilité.

En effet, le critère d’éligibilité détermine si vous pouvez, en fonction de votre zone géographique et de vos équipements, bénéficier de telle ou telle installation. C’est pour cela que certains fournisseurs réalisent dès le premier contact le test d’éligibilité afin d’éviter toute surprise.

Cliquez ici pour vérifier votre éligibilité à la fibre chez les différents fournisseurs. Cela vous permettra d’être fixé et d’avoir une idée claire des possibilités que vous avez afin de choisir l’offre qui vous avantage le plus.

Une fois la question de l’éligibilité évacuée, il faut faire attention à d’autres aspects comme :

  • La couverture géographique du FAI ;
  • Le coût global de l’offre ;
  • La fluidité et la rapidité de la connexion ;
  • Le service après-vente.

Choisir son logiciel de gestion de stocks

Choisir d’acheter un logiciel de gestion de stocks favorise la croissance de votre entreprise. L’automatisation de cette activité vous libère notamment des tâches chronophages et à faible valeur ajoutée. Mais pour bénéficier de tous les atouts de cette dématérialisation, il est fondamental de bien choisir votre solution logicielle de gestion de stocks. Voici les facteurs à considérer pour choisir un logiciel adapté à vos activités.

Comment choisir son logiciel de gestion de stocks ?

Le logiciel de gestion de stocks constitue un véritable levier de développement pour votre entreprise. Il vous aide à gérer vos stocks et vos ventes d’une manière simple et automatique. Ainsi, vous consacrerez moins de temps aux tâches rébarbatives et vous vous concentrerez davantage sur votre cœur de métier. De quoi gagner du temps et limiter les risques d’erreur dans vos opérations.

Avant de vous lancer dans l’acquisition d’un logiciel de gestion de stocks, vous devez prendre en compte plusieurs paramètres. Choisissez une solution facile à prendre en main, qui ne nécessite pas des connaissances approfondies. Un logiciel de gestion de stocks ergonomique avec une interface intuitive est à privilégier.

Il faut également choisir une solution qui correspond au profil spécifique de votre entreprise. En plus de la taille de votre organisation, vous devez aussi déterminer vos objectifs. Cela vous aidera à définir les fonctionnalités attendues de votre logiciel de gestion de stocks, en tenant compte de votre budget.

Il convient par ailleurs de faire le choix entre un logiciel installé sur vos serveurs ou hébergé à distance. Une solution accessible depuis le serveur de votre entreprise permet de sauvegarder les données en interne. Toutefois, vous devez procéder régulièrement à des mises à jour et renforcer en permanence la sécurité des informations.

Quant au logiciel hébergé, il vous permet de travailler à distance sur différents supports. Il suffit de vous connecter pour accéder à vos documents. Avec ce type de solution, vous n’aurez pas à vous préoccuper des mises à jour ni de la sécurité des données. L’éditeur de logiciel s’en charge à votre place.

Pourquoi choisir le logiciel de gestion de stocks Kwixéo ?

Le logiciel de gestion de stocks proposé par Kwixéo est un outil performant et innovant qui vous aide à contrôler vos stocks et vos ventes. Facile à utiliser, il vous permet un gain de temps considérable, tout en réduisant au maximum les risques d’erreur.

Vous pouvez paramétrer aisément les entrées et sorties de stock. Entièrement personnalisable, cet outil s’adapte à toutes les activités professionnelles. Il vous donne la possibilité de créer des alertes en temps réel pour bien suivre l’évolution de vos stocks. De plus, une mise à jour automatique est intégrée dans la solution.

Avec notre logiciel de gestion de stocks, vous améliorerez votre stratégie marketing. Il vous sera plus simple de définir les coûts et les marges sur vos ventes. L’accès aux stocks en temps réel vous permettra d’éviter les ruptures et le surstockage. Ainsi, vous optimiserez la qualité de vos services et améliorerez la satisfaction de vos clients.

Avoir une vue d’ensemble sur vos activités vous aide dans vos prises de décisions stratégiques. Le logiciel de gestion de stocks Kwixéo permet aussi de rassembler plusieurs documents en un seul et de partager l’ensemble à votre équipe. Cette collaboration permet d’améliorer la productivité et l’efficacité de vos employés.

Vous recherchez un logiciel de gestion de stocks complet qui répond à tous les besoins de votre entreprise ? Kwixéo est la solution idéale. N’hésitez pas à nous contacter pour connaître les différents modules proposés par notre logiciel de gestion de stocks. Notre équipe traitera votre demande dans les plus brefs délais.

Une gestion optimale des stocks est indispensable pour éviter de perdre des opportunités de vente ou, au contraire, faire face à un sur-stockage. Pour ce faire, il faut un suivi efficace et pertinent de la fluctuation des marchandises entrantes et sortantes, ce qui est loin d’être facile. Heureusement, grâce à un logiciel de gestion des stocks, il est possible d’optimiser ce processus.

À quoi sert un logiciel de gestion des stocks ?

Un logiciel de gestion des stocks est une application qui permet de piloter les entrées et les sorties des marchandises en stock. Pour comprendre son utilité, il faut déjà appréhender la place qu’occupe la gestion des stocks au sein de l’entreprise.

Elle constitue avant tout une fonction stratégique, sur laquelle repose le chiffre d’affaires et la croissance de l’entreprise. Ainsi, une bonne gestion des stocks permet d’améliorer le revenu, alors qu’un stock mal maîtrisé entraîne des pertes et un manque de rentabilité. La gestion des stocks génère en effet des coûts : ceux liés à l’acquisition des biens et ceux générés par l’entreposage et la conservation. Sans oublier qu’il existe également un risque de dévalorisation des articles avec le temps.

L’intérêt d’une bonne gestion des stocks est donc de pouvoir éviter ce sur-stockage. Dans un même temps, il faut éviter une rupture de stock pour ne pas perdre une opportunité de vente. Recourir à un logiciel de gestion des stocks est indispensable pour pouvoir parvenir à cette gestion intelligente des marchandises, évitant ainsi le sur-stockage ou la rupture de stocks. L’objectif est de suivre efficacement le flux des marchandises pour savoir s’approvisionner par la suite, en achetant les bonnes marchandises au bon moment.

Cette application de gestion des stocks permet alors de centraliser les données sur le mouvement des marchandises. Elle est d’une grande utilité pour mieux contrôler les approvisionnements, réduire les pertes et augmenter les bénéfices.

Comment choisir un logiciel de gestion des stocks ?

Du fait de la pluralité des solutions de gestion des stocks proposées sur le marché, il peut s’avérer difficile de trouver le bon logiciel, celui qui saura répondre à vos besoins et à vos attentes. Pour cela, vous devez prendre en compte certains paramètres.

Opter pour un logiciel adapté à son activité et à son métier

Les logiciels disponibles sur le marché vont répondre à des besoins et des problématiques spécifiques, rencontrés dans un secteur d’activité en particulier. Il est ainsi important de choisir un logiciel qui tient compte de votre secteur d’activité, de la dimension nationale ou internationale de votre activité, de la quantité de marchandises ou du nombre de fournisseurs à gérer.

Se référer à la taille de son entreprise

Le logiciel de gestion des stocks s’adresse aux autoentrepreneurs, aux PME ainsi qu’aux grandes entreprises. Sur le marché, il existe ainsi des solutions conçues pour chaque structure. Pour un autoentrepreneur ou une PME, il est par exemple possible d’opter pour une solution comme Kwixéo. Conçue pour les structures de petite taille, notre application regroupe des modules qui s’adaptent à leurs besoins en matière de gestion de stocks.

Déterminer ses objectifs

Il est important de définir en amont les objectifs que vous cherchez à accomplir à travers votre logiciel de gestion des stocks. Souhaitez-vous automatiser la gestion de vos stocks, améliorer la collaboration en interne, instaurer une vue d’ensemble de vos activités ? Le but est de trouver une solution qui répond à vos problématiques et qui vous aide à atteindre vos objectifs.

Logiciel installé ou solution Cloud ?

Vous avez le choix entre un logiciel installé localement sur votre ordinateur ou un logiciel de gestion des stocks en ligne, hébergé sur un serveur distant. Étant donné que le travail demande aujourd’hui une plus grande mobilité, les solutions basées sur le Cloud, telles que Kwixéo, tendent à gagner du terrain. Vous pouvez alors vous en servir où que vous soyez, quel que soit le support que vous utilisez.

Réfléchir au budget

Le budget reste un critère important pour choisir une application de gestion des stocks. Il est en effet nécessaire de rester sur les possibilités qu’offre la trésorerie. Les logiciels gratuits restent cependant peu recommandés. Leurs fonctionnalités étant très limitées. Il n’est cependant pas nécessaire d’investir dans un logiciel surdimensionné, très coûteux. L’objectif est donc d’avoir les fonctionnalités utiles à la gestion de son entreprise tout en restant dans le budget.

Tous ces paramètres sont d’une importance capitale pour faire le meilleur choix. Pour décider, l’avis des opérationnels s’avère également nécessaire étant donné qu’ils vont également se servir du logiciel.

Pour aller plus loin, consultez les tarifs de Kwixeo et choisissez la solution logicielle adaptée aux besoins de votre entreprise.

Le quotidien d’un entrepreneur est rythmé par ses nombreuses responsabilités : gestion de la relation avec les clients et les fournisseurs, suivi de la comptabilité, gestion des stocks et des achats, réalisation des tâches administratives, etc. Eu égard à ces multiples tâches, s’appuyer sur un logiciel de gestion d’entreprise est fortement recommandé. Un tel outil permet de centraliser le processus de gestion et de le simplifier par la même occasion. Mais encore faut-il trouver la bonne solution.

Un logiciel de gestion d’entreprise, c’est quoi exactement ?

Connu également sous le terme ERP, ou progiciel de gestion intégré en français, un logiciel de gestion d’entreprise est une solution informatique qui vous permet de piloter efficacement votre structure et l’ensemble de ses activités. Il intègre ainsi plusieurs modules qui permettent de gérer différents aspects des activités de l’entreprise, dont la production, les stocks, les achats, les activités commerciales ou les activités marketing.

En ce sens, ce logiciel de gestion est utile pour obtenir une vue globale de l’entreprise. Il offre également une solution de travail collaboratif : les informations seront en effet visibles depuis une base de données unique, par tous les collaborateurs qui en ont l’accès.

Les avantages d’un logiciel ERP

L’utilisation d’un logiciel de gestion offre différents avantages à l’entreprise, notamment au dirigeant et à ses collaborateurs.

Une optimisation du processus de gestion

L’utilisation d’un logiciel ERP vous permet de concentrer la gestion de votre entreprise sur une plateforme unique, avec des informations remontées en temps réel. Le logiciel vous aide ainsi à fluidifier votre processus de gestion.

Un gain de temps

L’automatisation que permet un progiciel de gestion intégré se trouve à l’origine d’un gain de temps inestimable. Vous pouvez ensuite investir votre temps dans des activités à forte valeur ajoutée. Tout ceci contribue également à une rapidité d’exécution pour les opérationnels comme pour les managers.

Une hausse de la productivité

Le logiciel de gestion d’entreprise offre une traçabilité de toutes les opérations réalisées au niveau de chaque métier. Il permet ainsi de prendre des décisions en temps réel et de construire des stratégies basées sur des données fiables. En un mot, il se trouve à l’origine d’une performance accrue pour le dirigeant et ses collaborateurs.

Comment choisir son logiciel de gestion ?

La pluralité des offres disponibles sur le marché rend le choix du logiciel difficile. Pour trouver une solution adaptée à son entreprise, il est donc nécessaire d’observer quelques points.

Définir ses besoins avant de choisir

Différentes versions du logiciel ERP existent sur le marché. Certains intègrent des modules pour la gestion commerciale ou le CRM, d’autres pour la gestion comptable ou la facturation, et bien d’autres encore. Pour faire votre choix, vous devez donc déterminer les besoins et les objectifs que souhaitez combler à travers ce logiciel.

Opter pour un logiciel adapté à son métier

Il existe aussi bien des logiciels généralistes que des solutions sur-mesure, conçues pour des métiers spécifiques, pour le secteur du bâtiment, pour les professions libérales ou pour les commerçants. Vous pouvez choisir entre ces deux options en tâchant de répondre à vos problématiques métier.

Tenir compte de son budget

Sur le marché, vous pouvez trouver aussi bien un logiciel de gestion d’entreprise gratuit qu’une solution payante. Toutefois, dès qu’on se tourne sur les services d’accompagnement, les logiciels gratuits perdent rapidement leur notoriété. Avec des applications payantes, vous pouvez au moins bénéficier de l’assistance de l’éditeur pour le déploiement de votre solution et tout au long de son utilisation. Il suffit alors de trouver une application qui s’adapte à votre budget.

Application de gestion en ligne ou installée sur site ?

Ces dernières années, on assiste à l’essor du logiciel de gestion en ligne, en raison des divers avantages qu’il offre. Il favorise par exemple la mobilité : où que vous soyez, vous aurez accès à vos informations. Le second avantage relève de la flexibilité de ce logiciel. Il peut évoluer avec vos besoins et sera proposé en abonnement, avec un tarif très souple.

Le choix est assez vaste sur le marché. Les autoentrepreneurs peuvent ainsi opter pour Kwixéo, un logiciel de gestion en ligne qui vous permet de piloter l’ensemble des activités de l’entreprise : les stocks, la relation commerciale ou la facturation. Grâce à notre solution, vous avez donc les moyens de booster votre processus de gestion et votre performance au quotidien.

En 2019, les solutions de gestion d’entreprise ne manquent pas. Certaines sont spécialisées dans une fonctionnalité bien précise, d’autres s’adaptent au secteur d’activité du client. Et si les logiciels ERP tendent à proposer un service toujours plus complet et personnalisé, leur prix, eux, peuvent étonnamment passer du simple au double. Comment justifier cet écart de prix entre les différents logiciels de gestion d’entreprise ? Quels sont les éléments qui impactent leurs tarifs ? Comment réaliser des économies en trouvant la solution adaptée ? Kwixeo vous aide à le découvrir.

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Choisir le bon type de logiciel de gestion d’entreprise

Comme il a déjà été dit, il existe de nombreuses solutions ERP ou PGI sur le marché. De ce fait, les prix des logiciels de gestion d’entreprise varient énormément. Et cela ne vous facilite pas la tâche dans le choix de votre solution. C’est pourquoi il est essentiel de faire une première sélection, qui vous permettra déjà de faire des économies.

Logiciel « On premise » ou « SaaS »

Pour commencer, notez qu’il existe deux grandes catégories de logiciels de gestion d’entreprise. Les solutions « On premise » doivent être installées sur les serveurs de l’entreprise. Elles nécessitent donc l’achat d’une licence. A contrario, les solutions SaaS sont utilisables en ligne. Le logiciel est alors accessible à distance, sur n’importe quel appareil et n’importe quel navigateur. Ce type de logiciel s’utilise sous forme d’abonnement mensuel ou annuel auprès de l’éditeur / hébergeur.

En termes de prix, un logiciel de gestion d’entreprise SaaS vous coûtera moins cher qu’un logiciel on premise. C’est en effet une alternative plus économique, qui vous offre également plus de flexibilité et de praticité. Et oui : les solutions on premise nécessitent un achat (d’un montant souvent très conséquent) de votre part. Tandis que le SaaS vous permet d’essayer, de prendre en main et d’adopter ou de changer la solution à n’importe quel moment. Plutôt pratique, non ?

On vous explique plus détail pourquoi les logiciels au modèle SaaS sont à privilégier : Logiciel de gestion d’entreprise, pourquoi choisir le modèle SaaS ?

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Solution générale ou spécialisée

L’autre critère de choix réside dans la spécialisation de la solution à votre métier ou secteur d’activité. En fonction de vos besoins, vous pouvez choisir d’investir dans une solution assez générale, vous permettant de réaliser globalement toutes les actions nécessaires. Mais vous pouvez aussi décider de mettre le prix dans un logiciel de gestion d’entreprise qui soit parfaitement adapté à votre secteur d’activité.

Si vous êtes dans le bâtiment, par exemple, vous avez tout intérêt à recherche un éditeur qui se concentre sur ce secteur-là. Vous pouvez également affiner vos recherches en misant sur les logiciels de gestion d’entreprise complets qui proposent de la gestion de chantier. A l’inverse, misez sur des logiciels moins spécifiques mais peut-être plus simples si vous n’exercez par dans des secteurs bien particuliers. En effet, si le logiciel que vous choisirez ne demande pas de fonctionnalités pointues, inutile de perdre trop de temps. Dans ce cas de figure, c’est principalement le prix du logiciel de gestion d’entreprise qui influencera votre décision.

Un prix qui varie selon vos besoins en termes de logiciel de gestion d’entreprise

Une fois que vous avez saisi les différentes catégories de solutions qui peuvent le prix de votre logiciel de gestion d’entreprise, il faut prendre en compte vos besoins. De quelles fonctionnalités avez-vous absolument besoin ? Combien de salariés seront amenés à utiliser la solution ? Êtes-vous prêt à mettre le prix dans un logiciel de gestion d’entreprise avec un bon SAV ?

Les modules / fonctionnalités indispensables à votre activité

Globalement, une solution ERP ou PGI doit vous permettre de gérer :

  • Votre prospection
  • La gestion de la relation client
  • Toute la partie gestion commerciale : devis, bons de commande, factures, avoirs, etc.
  • La gestion des fournisseurs et des achats
  • La gestion des stocks
  • etc.

Si vos besoins se résument à cette liste, les recherches ne seront pas longues. En effet, il s’agit des fonctionnalités de base. Et bonne nouvelle : elles sont accessibles pour quelques euros seulement par mois.

Par contre, si vous avez des attentes en termes de comptabilité, de ressources humaines, de gestion des charges ou encore de gestion de chantier… Et bien vous allez devoir ajouter des modules à l’offre de base. Par conséquent, vous allez voir le prix de l’abonnement mensuel ou annuel de votre logiciel de gestion d’entreprise augmenter au fur et à mesure de vos ajouts. Forcément.

Notez toutefois que ce problème n’en est pas un. Vous allez pouvoir ajouter ou retirer des modules ponctuellement en fonction de vos besoin. Ou de l’activité de votre société. Le modèle SaaS vous offre effectivement cette flexibilité que les solutions on premise n’ont pas.

Le nombre d’utilisateurs

Le nombre d’utilisateurs impacte considérablement le prix final de votre logiciel de gestion d’entreprise. Si certaines solutions vous proposent des achats ou abonnements sous formes de packs (nouveau palier tarifaire tous les 5 ou 10 utilisateurs), d’autres vous feront payer chaque utilisateur.

Lors de vos recherches et de votre sélection, prenez bien en compte ce critère. Combien de salariés vont être amenés à consulter ou utiliser le logiciel ? Est-il de ce fait préférable d’investir dans un système de pack ou un système à l’unité ?

Le support technique, un élément déterminant du prix de votre logiciel de gestion d’entreprise

Enfin, dernier élément qui peut impacter le prix de votre logiciel de gestion d’entreprise, et pas des moindres : le service support ! Alors oui, il existe des solutions gratuites (et encore, elles sont pour la plupart vite limitées). Effectivement certains logiciels sont très attractifs de par leurs fonctionnalités et leur tarifs des plus compétitifs. Mais leur service technique est-il efficace ? L’équipe sera-t-elle réactive quand vous en aurez besoin ? Ce n’est pas toujours évident de le savoir.

Ainsi, avant de sauter sur la première solution accessible gratuitement ou à partir de 5€ / mois, prenez le temps de lire les avis clients. C’est essentiel ! Un bon logiciel ERP est un outil qui vous propose, en plus des services de gestion d’entreprise, un excellent accompagnement.

Et cela passe par la réactivité de l’équipe, la disponibilité des responsables clientèle, la maintenance et la mise à jour du logiciel. Pensez également à vous renseigner sur la sécurité de l’outil : Où sont hébergées les données du logiciel ? Etc.

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Kwixeo, le partenaire réussite des entrepreneurs

Chez Kwixeo, on se plait à dire que nous ne sommes peut-être pas votre premier logiciel ERP, mais nous comptons bien être le dernier. Pourquoi ? Parce que notre logiciel réunit la totalité des éléments énoncés ci-dessus. Respectant le modèle SaaS, Kwixeo est accessible partout, et à tout moment. Mieux encore, vous disposez d’une liste de modules à la carte, vous permettant de gérer au mieux votre activité. Notre point fort ? Le support technique ! L’équipe commerciale répond dans les plus brefs délais, et prend le temps d’accompagner chaque utilisateur. De la prise en main du logiciel, au succès de l’entreprise toute entière.

Et niveau prix ? Notre logiciel de gestion d’entreprise est accessible à partir de 9.90€ / mois, avec une multitude de fonctionnalités déjà comprises dans l’offre de base. Vous pouvez par la suite ajouter des modules, tout en bénéficiant d’offres régulières vous permettant de réaliser des économies tout au long de l’année.

Même Appvizer nous recommande : https://www.appvizer.fr/finance-comptabilite/facturation/kwixeo?

Alors, convaincu ? Venez donc tester notre logiciel de gestion d’entreprise dès maintenant !